Par Camille Chauvet
Bondamanjak vient de fêter le souvenir de Remer, mais en sa mémoire d’homme de presse et de combat d’idées ,Gilles Degras, il faudrait quand même reconnaître dans les commentaires ce qui est débat et ce qui qui sort du domaine d’un article. Voilà un bel exemple je réponds sur un article et voilà la meute anonyme du MIM qui sur ce site BMJ débite ,et aucun commentaire n’a de rapport avec mon texte.S’il veulent m’attaquer sur mon site, mon activité professionnelle qu’ils le fassent à visage découvert avec les mêmes termes en face de moi ces gens courageux. Entre une vermine au nom d’Annick Passouvant et trois analphabètes jaloux il faut faire un choix Gilles Degras, sinon les procès pour injures et diffamation ne vont pas manquer. La presse doit respecter un minimum surtout quand ces commentaires sont anonymes.