Ce qu’on appelle désormais l’affaire #CEREGMIA (d’autres parlent de scandale) prend une tournure kafkaïenne en #Martinique.
Le Directeur de ce laboratoire de recherche, Fred #Célimène, a récemment envoyé un courrier à Corinne Mencé-Caster, la présidente de l’Université, lui demandant que les 32.000 euros d’honoraires des deux avocats qu’il a pris pour se défendre soient payés par… l’Université.
On peut identifier là une utilisation pour le moins surprenante de la législation qui protège les fonctionnaires dans l’exercice de leur fonction. Apparemment, l’article 11 n’a pas été lu en entier par ceux-qui s’en réclament.
Ce jour, on apprend dans la foulée sans se fouler, que ces derniers (Philippe Edmond-Mariette et le sémillant et inénarrable Gérard Dorwling-Carter) ont déposé un recours en référé devant le tribunal administratif de Fort-de-France.
Histoire de contester le bien fondé de l’arrêté de suspension pris à l’encontre de leur client le lundi 26 mai 2014, par la présidente de l’université.
Selon nos sources, l’un des avocats pas du tout soucieux de partage équitable et de développement durable toucherait plus que son confrère. Dans un souci de déontologie au cœur de la gouvernance de Monopoly, on usera d’un droit de réserve basé sur le groupe sanguin de l’éthique sénégalaise pour ne pas citer l’avocat qui s’est fait bananer.