Dans l’affaire Tropiques FM, Claudy #Siar est de loin le plus médiavore. En face Stéphane #Mouangue et Valérie #Rousseau sont plus discrets. Pourtant à la veille de Noël, doux Jésus …il y a un changement radical puisqu’on retrouve au pied du sapin radiophonique un droit de réponse qui va faire mal. Euh…même très mal…
« DROIT DE RÉPONSE :
Afin de rétablir la vérité sur la situation exacte de TROPIQUES FM et les accusations aussi fausses que diffamatoires proférées par Claudy Siar à notre encontre nous vous joignons le courrier qui lui a été envoyé en réponse à celui qu’il vous a demandé de publier relativement à
aux licenciements prétendument abusifs dont nous serions responsables. Il est temps que le public soit informé sur les manipulations de la presse et des réseaux dont Claudy Siar est l’auteur :
« Monsieur,
Votre courrier ayant pour titre est « licenciements abusifs » contient des propos non seulement inexacts mais outrageants et diffamatoires dans le détail desquels je n’ai pas l’intention d’entrer, pas plus que je n’ai l’intention de convoquer sur votre injonction une assemblée générale extraordinaire, dont votre conseil que vous mettez en copie, sait pertinemment qu’elle n’a aucun pouvoir pour « réintégrer » des salariés.
Même si cela ne vous plait pas, je gère concrètement la société Tropique FM et le fait que vous soyez en désaccord avec l’associé majoritaire ne vous autorise pas à tenir de tels propos. Que cet associé majoritaire, Stéphane Mouangue, dont je suis la compagne, puisse avoir son mot à dire sur les orientations de la société, qui semble-t-il ne vous plaisent pas alors qu’elles sont parfaitement respectueuses de l’esprit de la radio tropique FM que du cahier des charges de celle-ci, ne fait en aucun cas de sa gérante une gérante de fait.
Je me permets de vous rappeler qu’au chapitre des licenciements vous semblez avoir oublié que c’est lors de votre gérance qu’ont été licenciées deux salariées Mesdames Y. D….. et K. B……. Ces licenciements ont été jugés abusifs par la justice et ont coûté très cher à notre société.
Vous prétendez aujourd’hui que je serai responsable de licenciements abusifs (titre de votre courrier) alors qu’à ce stade, sous ma gérance, aucun jugement n’est venu sanctionner de ce chef la société qui s’en défend naturellement.
Monsieur G. T….. et Madame F. M…….. n’ont pas été licenciés. Il s’agissait de personnes en fin de contrats .
Madame C. G………. était rémunérée 1900€ mensuellement. Il lui était demandé de faire trois heures d’émission en direct. Malgré l’envoi de plusieurs avertissements, elle a continué pendant plusieurs mois d’enregistrer en 20 minutes ses interventions sans se donner la peine de faire son travail sur place. Devions-nous l’accepter au seul motif que cette salariée trouvait peut-être grâce à vos yeux ?
J. J. G……… si elle travaillait bien pour une société habilitée à négocier des contrats publicitaires ainsi que des partenariats pour notre société n’était pas une employée de TFM.
S’agissant d’E. T…… il a souhaité quitter la société.
Enfin aucun artiste n’est boycotté, et vous le savez parfaitement.
Mais comme d’habitude vous tentez de manipuler, d’instrumentaliser des personnes étrangères au conflit qui vous oppose à l’associé majoritaire dans le but d’obtenir des soutiens à votre cause et contraindre celui-ci à vous nommer gérant.
Contrairement à ce que vous faisiez lorsque vous étiez gérant en privilégiant le portefeuille d’artistes en affaire avec votre frère, nous n’avons aucun intérêt à favoriser ou défavoriser un artiste et nous diffusons, tous les artistes en ce compris ceux qui, sans entendre d’autre son de
cloche que celui de vos propos désagréables, inexacts et diffamatoires tenus sur réseaux sociaux, ont rallié votre cause sans en connaître exactement les ressorts.
Par ailleurs le personnel en place m’a fait part de votre comportement possiblement inapproprié (soupçons de harcèlement sur une jeune femme) pour lequel je vous demande vos explications par courrier séparé et pour lequel je suis contrainte d’ouvrir une enquête interne.
Pas plus Stéphane Mouangue que moi-même ne « piétinons » personne et nous respectons au contraire les sensibilités de chacun. Nous ne favorisons ni les uns ni les autres et ne faisons que des choix permettant à la société de se développer en respect des prescriptions du cahier des charges.
La seule violence que nous constatons est celle de vos écrits, ceux que vous nous adressez ici, comme ceux haineux et absents de toute retenue que vous postez sur les réseaux sociaux pour dénigrer Stéphane Mouangue et sa famille depuis que n’avez pas obtenu de suite favorable aux injonctions menaçantes de votre avocat au mois de juin dernier.
Votre attitude est véritablement désastreuse car pour prendre la place d’une autre, vous avez décidé de crier partout des arguments irrecevables et tout simplement odieux. Pour vous je suis incompétente et qui plus est la compagne de Stéphane Mouangue qui serait selon vous un repris de
justice…Et surtout je n’ai rien à faire à mon poste car je ne suis pas ultramarine.
En diffusant de tels arguments non seulement faux mais discriminatoires vous prenez la responsabilité de détourner de l’écoute de la fréquence un public dont nous étions parvenus à augmenter le nombre au prix d’importants efforts.
Ainsi que notre conseil l’avait dit depuis longtemps au vôtre, le dialogue auquel vous prétendez rester ouvert ne peut s’ouvrir tant que vous employez pour nous désigner auprès de votre public des termes aussi lamentables que clan familial, hold-up, braquage etc. pour lesquels nous allons naturellement saisir la justice.
Vous semblez ou avez oublié que toutes les décisions prises jusqu’ici par les assemblées générales ordinaires ou extraordinaires l’ont été à l’unanimité (c’est à dire avec notamment votre assentiment) comme ce fut notamment le cas lorsqu’en raison de pertes une augmentation de capital s’est révélée indispensable pour sauver la société. Auriez-vous également oublié que pour vous permettre de conserver le même nombre de parts de la société Stéphane Mouangue que vous n’avez pas de mots assez dur pour qualifier vous a aimablement prêté une somme de 160.000 €
(CENT SOIXANTE MILLE EUROS) ?
Quant à la reprise de votre « entière liberté d’actions » dont vous nous menacez, elle fait un peu sourire lorsque l’on fait la liste de tout ce que vous vous êtes autorisé à écrire à notre sujet depuis plusieurs mois…
Ou devons nous comprendre de ces derniers écrits que vous envisagez d’aller au-delà des horreurs médiatiques que vous propagez et que vous envisagez de passer un autre niveau de violence ?
Veuillez recevoir, Monsieur, l’expression de nos sentiments distingués.
La gérante. »
Marie-Laure ROUQUET
Avocat