Bondamanjak

Anthropophagie politique au PPM ou l’art de se bouffer entre eux !

Jamais la politique n’a autant ressemblé à un absurde jeu de dupes, jamais les luttes pour le pouvoir n’ont été aussi violentes – trahisons, règlements de comptes, éliminations -, jamais les manipulations, le lobbying tous azimuts, n’ont été aussi déterminants dans les stratégies électorales : les Martinique…le PPM s’affole !
Les terribles moeurs anthropophagiques qui codifient ce parti, atteignent leur paroxysme pour ces surprenantes législatives ! Mais… une fois n’est pas coutume: sauvons le soldat Hajjar ! Pourquoi ? Parce que ce deputé du centre n’a pas démérité et aujourd’hui, sans gêne et honteusement le PPM crie haut et fort de voter contre Hajjar! se prenant pour des faiseurs de rois, dans leur, micro royaume de plus en plus hermétique à la société réelle, ils jacassent en faisant une campagne CONTRE Johnny Hajjar!

Ceux qui manipulent sont connus : on appâte comme l’âne et la carotte en faisant des promesses pour les élections à venir, mais avant tout il faut éliminer ce récalcitrant trop cesairien, trop fidèle, trop honnête : Johnny … On croit rêver…. Dans ce grand art de la trahison et du retournement de veste, les stériles bagarres pour obtenir ou conserver un confetti de pouvoir s’activent . Parce l’enjeu est la redistribution des cartes maintenant que Tet Boskaf est en désamour : il faut l’éliminer et avec lui Johnny Hajjar. Alors les tractations avec le diable vont bon train car au delà des législatives, on pense déjà aux futures municipales et … à la future CTM !


Courage Johnny … entre jalousie et envie, cette clique de comiques qui ont longtemps profité de l’héritage cesairien, va s’écrouler comme un château de cartes … On appelle ça le karma ou la roue qui tourne, au choix selon les convictions.
Et puis entre nous qui est le responsable de cette anthropophagie politique ? Tèt Boskaf avec ses choix idiots… qui ont donné naissance à une tribu de petits monstres qui aujourd’hui spéculent avec jubilation, sur sa fin politique proche. Triste fin. En bon dard et en tout cas car…