Ne dites pas « cotisations sociales » dites « charges sociales », ne dites pas « vagues de licenciement » dites « plan de sauvegarde de l’emploi », ne dites pas « guichetier » dites « chargé de clientèle ». On connait quelques-unes de ces entourloupes langagières, mais on ne mesure pas assez comment cette perversion du langage contamine les esprits et nous fait avaler l’idéologie dominante à notre insu. Contre cette violence verbale, Olivier Besancenot publie un « Petit dictionnaire de la fausse monnaie politique ».
Pour voir toute la vidéo abonnez-vous sur le site Là-bas si j’y suis