Le Congrès s’est achevé en Martinique au terme de 2 réunions plénières, celle du 18 décembre 2008, celle du 18 juin 2009.
Nous ne reviendrons pas sur ce qui y a été acté : collectivité unique, assemblée unique, proportionnelle intégrale, compétences nouvelles, demande de report des élections régionales…tous aspects « techniques » que vous trouverez à foison sur nos pages, et dans d’autres.
Nous retiendrons que s’y sont affrontés en pagaille l’identité et la spécialité législative, Lise et Letchimy, le volontarisme et l’imagination, les élus et le peuple.
Commençons par le plus important : le peuple.
D’abord Françoise Rose-Rosette, élue de droite, disait en séance son ressenti de l’ambiance dans la population, qu’elle lisait comme clairement et majoritairement opposée à toute évolution vers le 74. On connait la suite, et la réponse ironique du Président du Congrès, invitant la dame à davantage de modestie représentative.
Ensuite, j’écoutais ce matin un « coup de gueule » d’une anonyme en radio : « nous avons des élus qui passent leur temps à se chamailler à partir chacun de sa position, et totalement incapables de s’asseoir tous autour d’une table pour travailler pour le pays…ki zafè vote é sa ?! »…
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