Assemblée nationale française : après l’emploi des femmes, des enfants, de la famille et si on parlait des…maîtresses ? Et si on s’y mettait ?
Eh oui avec le « Fillongate et le #Nilorgate la boite de Pandore est béante comme un con offert à un parterre de vits nourris au gland dur.
L’Assemblée nationale c’est Versailles mais les courtisanes modernes ne boivent pas que de la tisane.
La République forte de ses ors offre, sans être avare, des privilèges opaques d’un autre âge aux élus de #France et de Navarre.
L’argent et le pouvoir sont, ma foi, au coeur de ce coït institutionnalisé. Parlons donc des maîtresses.Ces femmes qui acceptent les données et se donnent pour avoir grâce au vit un rôle (peu enviable ?) dans la vie de la cité. Attachée parlementaire. Emploi qui peut donc s’avérer fictif.
Le sexe devient l’humide et tentant diplôme qui donne à l’élu le droit divin de vous voler dans les plumes avec doigté.
Diplôme. On connaît des cas où l’heureuse élue de l’élu a juste eu une formation de cuisinière. Cuisson. A point. Droit de cuissage. Cuisse avec ou sans esses.
Concernant Jean-Philippe #Nilor le député de la circonscription du sud de la #Martinique, la femme dans l’ascenseur serait évidemment sa maîtresse des cols pour lutter russe.
Un titre que cette femme mariée, originaire de Martinique, partagerait avec d’autres êtres avides de remplissage charnel.
Pour l’heure, nous sommes obligés d’utiliser le conditionnel pour ne pas porter atteinte à la vie privée de cet élu fidèle. Etait-elle ce jour où la caméra a enregistré ses exploits en lé-vit-ation, une simple visiteuse, une attachée parlementaire ? Ce sont de bonnes questions. Selon nos sources, elle aurait ses entrées à l’AN. Allant jusqu’à en faire son propre hub de lobbying. Allez on en a trop dit ou pas assez. A suivre.
Plus d’infos sur le #NilorGate