Eh oui. Bernard Hayot est innocent. C’est fini. Le béké est blanc…comme neige. Vive Monseigneur Macaire. Vive Serge Letchimy.
Le président du PPM avait raison de ne pas auditionner le descendant d’esclavagistes à qui on devrait remettre sous peu le prix Nobel de la paix et du vivre ensemble créole.
Bernard Hayot n’a JAMAIS investi un CENTIME dans le secteur de la BANANE en Martinique. Lè ou di sa ou mantè owa tè.
Emmanuel de Reynal le néo nègre béké, le confirme et affirme : « Il n’est concerné en rien ». Manu ne peut pas dire le contraire. Il vit de la publicité. Eh oui…la bouffe ça va de la bouche à l’anus. Et C’est direct quand on a le public à ras.
Dans un entretien accordé à France-Antilles l’unique quotidien local membre colonial et gaullien du MEM, Georges « Bonux » Bagoée conseiller à la direction de GBH lave plus blanc que blanc.
Dans sa narration historique, Il oublie juste de parler de la BAMEX . Le journaliste est lui empreint d’un métissage entre ignorance et amnésie.
Dans l’entretien qu’il accorde à la socialiste secrétaire nationale à l’égalité réelle Béatrice Bellay à l’habitation Bochette (le Tchernobyl créole), l’ouvrier agricole Philippe Moutoussamy, fils d’ouvrière agricole, apporte des éléments qui ont étrangement échappé à la « vigilance » de la commission d’enquête parlementaire sur l’ utilisation aux Antilles du chlordécone.
Eh oui…depuis les années 70, Bernard Hayot a toujours été présent dans l’univers de la banane en Martinique puisqu’il était l’agent exclusif de plusieurs producteurs français et européens de produits chimiques agricoles dont…BAYER. À suivre.