Depuis quelques années les algues sargasses se montrent très présentes sur les côtes de la #Martinique. C’est comme la sécheresse…ça n’a rien de nouveau, pourtant, l’impuissance des autorités est palpable même avec des palmes (appel des maires à l’action, les professionnels en souffrance investissent les télés….).
On rabâche que voilà, c’est naturel, qu’on y peut rien, à part les ramasser. On est en mode « je vous en prie…prions »…parce que c’est peut-être le bon Dieu qui veut ça vu qu’on a trop mis la bête en i.
Ramasser pourquoi pas, mais cela demande des moyens, de l’énergie, de l’ingénierie. Cette année l’odeur nauséabonde est partout sur les côtes, les pertes économiques chiffrées, sont flagrantes.
Et pourtant il existe des solutions en amont.
A l’heure, où l’on souhaite devenir un modèle d’excellence écologique, lol…je #chlordécone, interdiction de rire, pas un mot concernant les bateaux collecteurs d’algues qui les ramassent à l’approche des côtes, ceci permettant un début de valorisation.
Alors quelques questions me trottent … :
Y-a-t-il aujourd’hui des contacts entre nos chers dirigeants et #Veolia, une des sociétés fabricantes ?
Y a t-il un début de réflexion, d’élaboration de dossier à ce sujet ?
Si c’est le cas, rien ne transpire, en pire, à part cette odeur qui s’immisce partout.
Quelles conséquences sur la santé, alors que le vent a calé, peinant à évacuer cet air piquant ?
Alors va-t-on prier pour que l’ensemble soit décomposé avant le début de la saison touristique ou faire venir des bateaux capables de collecter ces algues transformables pour l’agriculture ?
En attendant, nos investisseurs du Cap-Est ont le nez dans la merde pas le caca, l’autre et la gorge qui pique, à défaut de nos dirigeants peut-être vont ils se mettre en œuvre ?
Enfin, apparemment, nos Sénateurs et Députés aussi autonomistes soient-ils, sont mieux à Paris à voter la confiance à un gouvernement …. qui nous ignore (quand les deux dames ministres sont passées l’autre jour, ça puait déjà non ?).