"En Guadeloupe, la pression migratoire émane principalement des Haïtiens. Les maires sont confrontés à de nombreux mariages blancs et à des reconnaissances d'enfants frauduleuses. Charles-Edouard Leffet, conseiller municipal des Abymes, explique sa technique pour les détecter : "A la mairie, je demande aux mariés de s'embrasser en cet instant solennel. Très souvent, je vois des baisers sur la joue, sur le menton, mais pas sur les lèvres. Et que dire lorsque, après le mariage, sur le parvis de la mairie, les deux familles du marié et de la mariée partent chacune de leur côté !"
Extrait d'un article de "Le Monde" du 21.11.06 ayant pour titre "L'outre-mer s'alarme de l'afflux d'immigrés clandestins"
Cet élu Guadeloupéen semble ne pas connaître la discrétion antillaise. Le bécot n'est pas très local, même si les habitudes changent.
La plantation ne nous avait pas habitués à ces manifestations en public .
Ca "leffet" pas de ne pas le savoir, quand on est élu d'un peuple issu de l'amour interdit.
Nous avons plutôt contraints au baiser…. clandestin !
Comme argument, Monsieur Leffet aurait pu trouver mieux. Aller jusque dans l'intimité des gens, chercher une quelconque illégalité, c'est honteux et cela rappelle d'autres temps.
Affreuse méthode qui semble remonter d'un …sarcophage ?
Lisa David