Entre le bwabwa de Miss Cathou (photo) et le vidé « Chaben Viré », (suivre le lien Chaben viré) la chose politique prend le devant de la scène du Carnaval populaire en cette année 2016, dite de la Miséricorde (sic).
Il y en a qui ne vont pas aimer ça du tout d’autant que « Péyi-a an alert kakarel ».
Dans la société martiniquaise, la bwabwaïsation d’une personnalité politique est un acte ultime. C’est un coup d’une violence inouï, porté à un adversaire. Quelquefois, la force du coup est injuste et disproportionnée, d’autres fois elle traduit un rejet viscéral à la mesure de la rancœur accumulée et du désir d’éliminer l’autre du fait de l’énormité de ses fautes… Comme disait l’autre « the harder they come, the harder they fall… »
Mais, dans les deux cas , la bwabwaïsation est destructrice.