Pour prendre le pouls de l’insoutenable malaise boskafien en Martinique, pas besoin de Vaval. Ce dernier est pris en otage depuis des décennies par le PPM et la ville de Fort-de-France.
Aussi, dans les rues dédiées au carnaval, l’imagination et le courage de certains martiniquais prennent le pouvoir. Le pouvoir de dire les choses. Je tiens à dire un GRAND MERCI au Monsieur habillé en marron qui a une queue de pie mais est un aigle fondamental. An vré kok djenm.