Emmanuel de Reynal a eu une bonne idée dont il a le secret. Une de trop. Ce piètre créatif reconverti en piètre et vain écrivain a récemment pondu au forceps, une ode de limpia botas en hommage à Bernard Hayot. Cette lèche littéraire déguisée en fellation textuelle s’intitule : « Ce que l’on doit à Bernard Hayot ».
Un ramassis qui devrait nous faire oublier l’essentiel. Le scandale de la CHLORDÉCONE, la mascarade du COURBARIL planté par Aimé Césaire. Manu lé fè nou kwè ke nou dwé an boug ki dwé nou.
Aussi, nous allons rafraîchir la mémoire volontairement défaillante et sélective de ces gens qui font du mensonge une idéologie créole.
Lettre ouverte à Bernard Hayot… Chlordécone en Martinique la VÉRITÉ DÉVOILÉE…ENFIN
Chlordécone en Martinique : pourquoi Serge Letchimy n’a pas auditionné BERNARD HAYOT ?
Chlordécone…la vérité si je mens – suite-
Lettre ouverte à Bernard Hayot… Chlordécone en Martinique la vérité
Eh oui…Bernard Hayot doit la vérité aux martiniquais-es. Sur le scandale de la chlordécone, sur le remplacement du courbaril de Césaire, sur le troublant dossier Les Sucreries Réunies de la Martinique. Je trouve que ça fait beaucoup.
Néanmoins, à l’orée de Noël Bondamanjak tient à faire un cadeau à son Nanard préféré . Oh que c’est beau. voire mignon. À suivre.