Nous avons été les premiers , il y a plus de 2 ans, à expliquer aux martiniquais la
manipulation grossière et crapuleuse dont est victime l’avocat Alex Ursulet.
Aucun journaliste de ce pays n’a eu le courage professionnel d’investiguer un peu et de dire ce que tout le monde sait à Paris : Tout ceci n’est qu’une vaste fumisterie destinée à déstabiliser l’avocat qui dérange, qui avait osé porter plainte contre le procureur de la République de la Martinique dans l’affaire Marie-Jeanne pour faux et usages de faux.Affaire qui a été expatrié bien entendu à…Paris pour être bien entendu étouffé. C’est également cet avocat courageux qui avait osé déposer plainte contre le fils de Bernard Hayot accusé d’agression sexuelle à l’encontre de son assistante de direction : Alexandra Dailloux.
Plainte qui a été curieusement classée sans suite. Cerise sur le gâteau banane c’est également ce avocat qui a été choisi par le Président de la Collectivité Territoriale de Martinique pour déposer plainte dans l’affaire du chlordécone il y a à peine un mois cqfd, oh Jesus ! et provoqué un tremblement de terre dans le système judiciaro hayotien.
La semaine dernière France-Antilles Martinique a commis une bévue que nous avons dénoncé immédiatement.
C’est donc tout à l’honneur de ce quotidien de faire enfin son travail !
En effet à la lecture du quotidien de ce jour les lecteurs martiniquais comprennent mieux les raisons du pourquoi d’un tel manjé kochon ordinal !!!
Reprenons, le 20 juin 2020, la Martinique apprenait avec stupéfaction que le ténor martiniquais avait été mis en garde à vue, après une enquête approfondie de la police judiciaire parisienne. À la demande du procureur de la république qui souhaitait sa mise en examen il a été présenté à un juge d’instruction, oh Jésus, oh Marie si tu savais… ! Et là, oui coup de théâtre, le juge d’instruction avait refusé sa mise en examen au motif qu’il n’y avait ni élément grave, ni élément précis dans cette plainte et que de plus, il ne répondait pas a l’exigeance de la loi pénale car ces éléments n’étaient pas non plus concordants.
Tout ceci a provoqué l’effroi du quarteron d’avocats haineux et jaloux à l’origine du coup fourré qui se sont mis à faire pipi dans leur robe car le pénaliste n’avait pas manqué de déposer plainte contre ceux qui avaient organisé un tel montage.
La cour d’appel doit statuer le 20 janvier 2022 sur cette décision. Ce qu’aucun organe de presse n’a dit et que nous révélons à partir aujourd’hui et qui provoque une vraie cacarelle chez les apprentis comploteurs, c’est qu’un juge d’instruction a été nommé pour enquêter sur les plaintes déposées par Alex Ursulet : contrairement à la plainte de la pseudo plaignante et aux arguments développés iniquement par le conseil de discipline, les éléments contenus dans cette plainte d’Alex Ursulet sont précis, graves et de surcroît concordants et éclairent les dessous scandaleux d’une mise en cause infondée qui si il n’y a pas tricherie et copinage, débouchera sur un retour de bâton ou de Bâtonnier très douloureux.
Et les masques tomberont… Et la vérité ne manquera pas de figer pour longtemps les visages pâles grimaçants qui comptaient sur le concours du procureur de Paris et du juge d instruction pour anéantir à jamais la solide réputation de l’avocat qui dérange , resté serein sous les coups de boutoirs’ habitué qu’il est des manigances du système qu’il a qualifié depuis très longtemps de putride.
Ceux qui ont formenté ce petit meurtre entre amis baveux auront à répondre aux questions du juge d instruction nommé pour cela et expliquer les mensonges grossiers et l’enfantine manipulation dont ils sont les tristes auteurs.
Bondamanjak se propose au terme des investigations qu’il mène depuis 18 mois de dévoiler les dessous de cette scabreuse opération. Attacher vos ceintures, ça va secouer:
Premier élément : Alex Ursulet et ses avocats ont été convoqués jeudi dernier pour une audition chez le juge d’instruction après 18 mois de silence et là à leur grand étonnement le juge a décidé de mettre Alex Ursulet en examen.
Pourquoi étonnement ? Parce que, comme le prévoit la loi , si il est vrai que le juge d’instruction peut faire évoluer le statut de témoin assisté à celui de mis en examen, il faut nécessairement qu’il y ait des éléments précis, nouveaux et concordants.
Or, à la lecture du dossier, que nenni, pas une once d’élément nouveau, rien, pas une miette de quelque chose qui justifierait légalement cette mise en examen. Sauf qu’ils espèrent que cette décision opportune voir opportuniste sans fondement influencera la cour d’appel de Paris.
Il y a un mois, cette même cour d’appel a annulé une décision de radiation d’une avocate et condamner en termes très sévères le conseil de l’ordre de Paris.
Le journal Le Monde s’était permis de moquer le bâtonnier de Paris provoquant la risée de tous les barreaux de France sur les scandaleuses pratiques et règlements de comptes sordides de ce petit cercle aussi vicieux que vicié.
Je propose à mes lecteurs comme cadeau de Noël de livrer la première offrande venue du Père Noël dans la cheminée notamment des Martiniquais et tenez le vous pour dit : rira bien qui rira le dernier. À suivre …