Quand le hâle ment, quand l’eau dépasse la farine de froment, il faut changer sa tactique. Reine de la provocation dans l’océan indien, la marque #Pardon avait une logique limpide. On déconne et ensuite on demande « Pardon ». Super pour la com. Seul hic, en ce 12 septembre 2014, il y a eu une nouvelle donne. En sus, ça dure longtemps, ce n’est pas un soufflet au fromage. Les médias français, des associations sont dans la boucle. Les réseaux sociaux font le reste. Il faut éteindre le feu « chaudronesque » avant l’anniversaire de nos 30 ans. Alors le créateur de la marque Peter #Mertes, en bon ich man Benz, monte au créneau avant le diablotin pour demander « Pardon » non…pour s’excuser. Son texte est limpide…il a sûrement fait appel à un nègre en littérature. Madame Desbassayns aurait sans nul doute apprécié. Moi entre Code Noiŕ et Bible, je ne trouve pas crédible. Au fait Mr Mertes…n’oubliez pas de changer les étiquettes…car la #Martinique et la #Guadeloupe notamment du #LKP n’aiment pas du tout votre humour. Conseil d’ami…euh…Pardon…conseil tout court.
gilles dégras