Le lundi 29 janvier 2018, lors de la réunion du Comité national du Mouvement Indépendantiste Martiniquais (MIM) qui se déroulait à Place d’Armes au Lamentin en #Martinique, il s’est passé quelque chose de grave qui peut expliquer l’actuelle fermeté d’Alfred Marie-Jeanne vis-à-vis de Jean-Philippe #Nilor.
Nous avons dû croiser plusieurs témoignages pour réaliser ce que nous n’osions pas croire. Comme disent d’une seule voix de castrat, la sociologue Gabriella Soundoromian et le philosophe Franck Vaskolovic : « Il est important de vérifier l’information ». Revenons donc sur les faits. Les particpants à la réunion prennent place. Le leader indépendantiste demande au député du sud qui était venu avec quelques partisans de quitter la salle. Ce dernier venu pour s’imposer et imposer une nouvelle donne qui fera foi de loi use alors du verbe de major pour répondre à celui à qui il doit tout. Il est le Brutus métis et ce soir il va en apporter la démonstration. Sa réaction est hors-normes, cinglante voire sanglante mais il est prêt pour cet affrontement: « Chaben, gadé mwen an ziyé épi répété sa ou fini di a ».
Le ton du défi est effectif.Fini l’affectif. Ladjè paré pou pété.Le défi est empreint de laten’w…de quoi perdre son latin.
Le vieil homme, lui est un tacticien, finement il évitera le piège et il ne répondra pas à cette provocation en mode « Sé lè ou lé, kan ou lé ». A ce manque de respect, à cette fronde imbécile, à cette gorge de petit caca lolo.
Nilor aurait pu être son fils. Il la longtemps considéré comme tel.
Pas Louise, l’ingrate, l’autre.
Il a aucune raison de regretter tout ce qu’il a fait pour lui (…18 ans attaché parlementaire. Sans commentaire mais comment taire ?) mais la situation fait qu’il découvre là le vrai visage de ce vil vit pensant manquant de respect à son aîné. À un aîné. C’est ça…j’oublie le nom de son truc à la con…euh…l’andidantité ? Tjip.
Ce lundi 29 janvier 2018, Alfred Marie-Jeanne a éteint plus que la lumière. Il a éteint une flamme néfaste pour la Martinique. Une flamme infâme. Et que celui qui est contre ça lève le doigt.