Bondamanjak

CMT Paris…la suite du feuilleton

Par Régine Gallotte

Par courrier en date du 22 juillet 2011, j’ai innocemment cru bon, dans ma détresse, d’informer monsieur #Letchimy des dysfonctionnements que j’estimais grave de la part de Mme Cadrot depuis son arrivée en mars 2011, en tant que Directrice du Bureau du #CMT de Paris.
J’ai communiqué ce même courrier accompagné des preuves à Mme Roy Camille le 25 juillet 2011.
Le président du Conseil Régional m’a répondu le 12 août 2011 que : « le respect de cette organisation ne me permet pas d’envisager d’action directe.
Néanmoins face à la gravité de cet écrit, et persuadé que vous en avez référé également à la présidente du CMT, je lui demanderais de bien vouloir m’informer des suites données à cette affaire après avoir entendu toutes les personnes concernées ».
Madame Roy-camille ne m’a elle-même jamais répondu jusqu’à ce jour, se contentant de laisser M. Sobesky me sanctionner, après avoir fait un semblant d’enquête menée par lui-même, sans tenir compte une seule fois de ce que je lui disais.
Devant l’aggravation de ma situation, et devant les mails de M. Sobesky qui me disait par la suite qu’il ne répondrait pas à « mon interprétation » de ce qu’il me disait, je me suis trouvée à m’attacher les services d’une avocate pour défendre mes droits. Car je me suis retrouvée SEULE en interne au CMT face à ma hiérarchie qui faisait entièrement bloc face à moi.
Le bras de fer de toute ma hiérarchie administrative et politique était tellement fort face à moi que j’ai été déclarée inapte à tous les postes de l’entreprise (=du CMT) par le médecin du travail en juin 2012…
Puis, je me suis retrouvée plus d’un an dans la nature en étant payée par le CMT, sans savoir quel sort m’était réservé au niveau professionnel.
J’ai, par la suite, été miraculeusement parachutée à la direction du tourisme du Conseil régional à compter du 1er octobre 2013, suite aux conclusions de mon avocate qui soulignait que j’errais dans la nature devant un vide juridique.
Comment, dans ces conditions, reprendre un semblant d’activité professionnelle au sein du Conseil Régional lorsque :
– Alors que ma première mise à disposition au bureau de Paris a été motivée par des raisons de santé (prolongée d’un an par M. Sobesky sur la base de 2 certificats médicaux), mon état de santé s’est aggravé, en raison des agissements des autorités du CMT, au point où le médecin du travail a jugé bon de m’écarter définitivement de l’ensemble du CMT ?
– Les conclusions de l’avocat du CMT mettent à charge contre moi le fait que je n’ai pas été le 1er octobre me présenter au Conseil Régional car je suis en arrêt maladie ?
– Je suis accusée par l’avocat du CMT dans ses conclusions d’avoir refusé délibérément de répondre à un courrier en date du o8 octobre du Président du Conseil Régional qui souhaitait savoir : « si elle serait disposée à revenir en #Martinique et envisager éventuellement la fin de son détachement au sein du CMT de manière anticipée à compter du 31 décembre 2012 » ; alors qu’en réalité j’ai découvert ce courrier dans les preuves du CMT à charge contre moi en juillet 2013 ?
– Je suis vaguement affectée à la Direction du Tourisme à compter du 1er octobre 2013 point barre ?
Comment me présenter au Conseil Régional après plus de 12 mois d’errance juridique au CMT et aucune information depuis le 1er octobre 2013 sur le poste que je suis sensée occuper au sein du Conseil Régional ?
Comment ne pas être en arrêt maladie car je suis très affecté par une telle connivence de fait entre M. Letchimy et Mme Roy-Camille ?
Aucun de vous deux, Mme Roy-Camille et M. Letchimy, vous n’avez cherché à me parler une seule fois depuis que je vous ai écrit mon premier courrier?
Seuls les Directeurs du siège et du Bureau de Paris ont eu le droit de vous parler jusqu’à ce jour et pas moi?
Comment pouvez-vous justifier Mme Roy-Camille et M. Letchimy que suite à un courrier assortis de preuves tangibles je n’ai eu que deux rendez-vous avec M. Sobesky suivi d’une sanction…puis le vide direct de votre part…et des preuves qui apparaissent fabriquées de toute pièce contre moi ?
Comment qualifier votre bras de fer et votre absence totale de dialogue autrement qu’en abus de pouvoir en bande organisée contre moi ?
Vous comptez aller jusqu’où en vous accordant tous les droits vis-à-vis de l’employée que je suis ?
Vous avez tous les droits et aucune limite dans l’exercice de vos fonctions respectives vis-à-vis de moi ?
En quoi j’ai menti, lorsque M. Sobesky et Madame Cadrot, ont disparu du CMT depuis mon affaire ?
Désolée de vous dire Mme Roy-Camille et Monsieur Letchimy ma vérité en public : Vous ne m’avez pas donné le choix en me privant délibérément du droit à la parole si chèrement acquis par nos ancêtres.
La moindre des choses c’était de m’accorder le même respect que moi je vous ai depuis le début accordé en vous écrivant et en mettant les formes.
Vous avez fait le choix du bras de fer incessant contre moi, de la mauvaise foi et du mensonge dans les preuves que vous avez fournis contre moi, à défaut de trouver des fautes graves chez une employée qui s’est toujours attaché à faire le bien déjà à ses propres yeux.
Moi, j’ai fait le choix de la vérité.
Il est temps Mme Roy-Camille et M. Letchimy que vous assumiez votre choix face à moi.
Il est temps que vous Mme Roy-Camille, et que vous M. Letchimy, vous preniez votre part de responsabilité vis-à-vis de moi dans l’affaire qui m’oppose au CMT et qui constitue des faits graves de votre part à vous d’abord.
J’ai personnellement assumé mes propres responsabilités en vous écrivant, en prenant une avocate devant l’évidence de votre alliance contre moi, et en vous disant la vérité sur vos méfaits envers moi.
Je ne vous connais pas personnellement, mais je n’ai pas besoin qu’un tribunal me rende justice pour savoir qui sont les vrais coupables qui n’ont cessé depuis mon courrier initial concernant Mme Cadrot, d’avoir un comportement inacceptable envers moi.
C’est où vous êtes devenus subitement amnésiques depuis l’arrivée de Mme Cadrot au CMT ou les institutions que vous dirigez m’ont accordé des notes et des appréciations de complaisances au CMT et à l’ARDTM depuis que j’ai réussi mon concours d’Attaché territorial en 2008.
Quand vous avez décidé délibérément de mener une chasse à la « sorcière Régine GALLOTTE », il fallait d’abord commencer à vous assurer que j’étais une véritable sorcière avant votre arrivée à la tête des institutions que vous dirigez…
Vérifiez les notes et les appréciations que j’ai eu, depuis que j’ai eu mon concours d’attaché territorial, et vous verrez si quelques soient le courant politique des institutions que vous dirigez, j’ai été sanctionnée pour un comportement jugé abusif ou inacceptable de ma part.
Et là, vous aurez des faits, pour déjà savoir qui je suis réellement, en dehors de vos sources d’informations et vos interprétations mensongères concernant ma personne.
Puisque c’est ma personne qui jugée dans cette affaire…mais pas les faits graves que j’ai porté à votre connaissance au sein du CMT…
Cela étant dit, je tiens à vous remercier de m’avoir fait comprendre, en ne vous abaissant pas une seule fois à m’écouter vous-même de vos propres oreilles, que nous ne faisons pas partie du même monde….