Une autre bouffée de sent pas bon vient du silence du tract sur ceux qui en ont profité avant 2009 puisque depuis au moins la décentralisation de 1982, il arrive que le Conseil Général vende, régulièrement, à ses agents, de tout grade ou condition, les appartements, villas ou maisons qu’il possédait, qu’il a pu acquérir ou qu’il a pu recevoir en don par le passé.
Alors, est-ce que tract doit être compris comme un nouvel élément qui participerait à l’entreprise de démolition, de démantibulation du Conseil Général.
C’est la question que se pose de plus en plus de fonctionnaires de la vieille institution, effarés que leur « maison » soit projetée ainsi dans la colonne des « faits divers » et qui interprètent cette situation comme une mise en pièce prélude d’une mise à l’encan.