Bondamanjak

Daniel Boukman à « Ecritures Métisses »,

Ce matin, Boukman, est en forme. L'assistance est attentive et variée. Il y a Alexandre Cadet-Petit, André Lucrèce, le maître de Cérémonie, Suzanne Dracius, quelques créolistes du GEREC-F. Des Griots de la Martinique. Les adolescents, venus pour Nadia Chonville, sont restés. « Migannaj, recueil de poèmes créolo-francophones », dit Boukman. Important. Ce n'est pas métis ou métissés mais créolo-francophones. L'auteur explique ce concept, commente son silence durant dix ans, son choix du créole. Le verbe facile, il rend hommage à Monchoachi, lit un passage de la préface de son ouvrage. Bon moment. Aux Editions Mabouya.