On se retrouve ainsi devant des cas de plus en plus nombreux où certains politiciens ont raté l’occasion de se taire. La dernière en date est à mettre à l’actif de l’occupant de Plateau Roy qui, s’il était en conformité avec sa parole, aurait dû déménager dès le 11 janvier. Sa récente prise de position le remettant en selle pour un dernier round pourrait être diagnostiquée, mais je ne suis pas spécialiste, comme une manifestation patente de schizophrénie mais par les temps qui courent, parler pour ne rien dire ou, pire, tout et son contraire, n’est ce pas devenu une habitude singulièrement chez nos politiques ?
Desinit in piscem disait déjà un certain Horace, « quand la fin ne correspond pas au commencement »
Félix Orestile