Une semaine après le cyclone, des centaines de maisons sont encore privées d'eau et d'électricité. Le pire, ce sont les sinistrés obligés de camper dans leurs maisons dévastées, quelquefois sans toit, pour éviter les pillages.
En continuant à utiliser le site, vous acceptez l’utilisation des cookies. Plus d’informations
Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.