et j’ai été (moi même, leur professeur) placé à la retraite d’office pour invalidité mentale, pour avoir voulu dénoncer ces pratiques, auprès de Monsieur SARKOZY (alors Ministre de la Police) comme une violation du code pénal, du code de la fonction publique,des lois sur le handicap, etc…
Arrivé au Togo, j’ai voulu me plaindre, mal m’en a pris : 900 togolais valides, jadis employés d’une société bordelaise, ont été mis à la retraite d’office pour invalidité après sept mois de grève, et, en conséquence, ils touchent un pension d’invalidité de la sécurité sociale française, alors même qu’ils sont valides.
Toutes les administrations françaises, en Martinique, au Togo et en France, sont au fait de cette situation, et, de peur de dénoncer le rectorat, me mènent une vie d’enfer, pour m’empêcher de bénéficier de l’aide de Monsieur SARKOZY.
Or, j’ai soixante six ans, je suis en danger de mort au Togo, et, depuis 2008, Monsieur SARKOZY, que j’ai appelé au secours,m’a déjà écrit quatre lettres,sans pouvoir me libérer de la quarantaine dans laquelle m’ont placé le Consulat de France au Togo, qui me refuse la protection consulaire, le Proviseur du Lycée Français de Lomé,qui m’a mis en quarantaine (en tant que parent d’élève) et le Recteur de la Martinique,qui refuse de dénoncer les fraudes pratiquées par les recteurs précédemment en poste .
Pourriez vous intervenir auprès de ces administrations, pour me permettre de bénéficier de l’aide du Président de la République, s’il vous plait ?
Si vous acceptiez de contacter, Monsieur SARKOZY, pourriez vous lui dire que malgré ses courriers, le recteur de la Martinique fait de la résistance, et refuse de répondre aux injonctions du Ministère de l’éducation nationale, pour clarifier les irrégularités administratives qui m’interdisent d’obtenir, légalement, un visa de séjour auprès du service de l’immigration du Togo, afin de pouvoir aller prendre des soins en France et échapper à une mort certaine…
Je m’adresse à vous en dernier recours.Faites moi seulement savoir si, vous aussi, vous refusez de me venir en aide.
Merci d’avance.