Ils ont inventé un bwabwa inodore et insipide. Un genre de purge quoi ! (photo2). Personne n’a compris ce que ça voulait dire, mais… Les gars ont fait leur boulot. C’est le bwabwa officiel. Trouver une effigie de Carnaval qui va être « acceptable », consensuelle et participer à une « amélioration *» de la société, c’est ça leur job. Alors, on ne va pas shooter sur eux…. lésé lavi-a woulé woulé’y !
D’ailleurs, le Carnaval les néglige : il y avait 4 personnes derrière leur truc !
A côté de ce Vaval insignifiant, il faut le dire, il y a un bwabwa qui a captivé les spectateurs et les carnavaliers et qui a dû être photographié des milliers de fois. Précis, direct, tellement dans l’esprit de la tradition de ce qu’un bwava doit être et dans l’ambiance d’un Carnaval populaire et bon enfant. (photo1). « Man viré pou mwen pété tchou zot » signé Lilise.
Demain dans les rues de Fort-de-France. Déchiré !
* comme si le Carnaval était là pour participer à l’amélioration de la société…. fè mwen chié !