Depuis quelques jours j’assiste à une déferlante sur les réseaux sociaux. Le mur des lamentations ou plutôt le mur de la compassion pour Valérie #Trierweiler. De nombreuses femmes ont connu la peine d’être trompées, elles ont fait face après une dépression ou juste une phase de colère et de tristesse. Mais voilà, Valérie a le droit d’être la femme la plus anéantie à l’hôpital, parce que la pauvre a été trompée et que cela a été rendu public. Jackie Kennedy, Hilary Clinton, Anne Sinclair n’auraient –elles donc jamais existé ? D’habitude, je suis la première à être solidaire de la gente féminine. Pourquoi n’ai-je donc pas envie de plaindre Valérie ? Oui, parce que la pauvre a un nom tellement difficile à prononcer qu’elle est pour la plupart « Valérie », l’amie des femmes bafouées, notre copine à toutes.
Elles sont journalistes, animatrices télévisées, romancières, mannequins, chanteuses ou encore comédiennes quand soudain, elles disparaissent pour devenir « la femme de ».
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