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Le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy est venu réaffirmer son soutien aux sidérurgistes, alors que 600 des 1100 emplois sont menacés sur le site de Gandrange " «L’Etat est prêt à prendre en charge tout ou partie des investissements nécessaires pour pérenniser l'aciérie"
"Notre objectif, c'est de garder des usines ouvertes en France"
"Soit nous arrivons à convaincre Lakshmi Mittal, le patron d'Arcelor Mittal, et nous investirons avec lui, soit nous trouvons un repreneur, et nous investirons avec lui »
Aujourdhui
-Une porte-parole du groupe ArcelorMittal, propriétaire de l'usine, a affirmé, lundi 31 mars, que "la question de la cession ne se pose pas". De fait, la restructuration imaginée par le groupe indien prévoit la fermeture de l'aciérie électrique, mais la conservation de certains éléments du site, tels que le centre de recherches."Le groupe brésilien Gerdau n'a pas déposé d'offre" et, plus largement, "ArcelorMittal n'a reçu aucune offre" de reprise du site, a ajouté la porte-parole du groupe.
-La direction d'ArcelorMittal a confirmé, vendredi 4 avril, la fermeture partielle du site de Gandrange, en Moselle, lors d'un comité d'entreprise à Metz
demain?