« GG…j’ai lu la lettre de l’ADAP…mais je l’avais déjà lu dans ton regard ».
Ce troublant regard abyssal qui invite au voyage intérieur. La dernière fois que j’en ai vu un, c’était celui de l’avocate Marie-Alice André-Jaccoulet. Ton départ est navrant car nos territoires perdent un soucieux d’images, un soucieux d’imagerie, un soucieux de l’imaginaire, de l’identité. Un soucieux de l’humain. Gérard…Monsieur Gérard Guillaume…j’ai du mal à terminer ce mot car nos maux me laissent sans voie.
Adieu Gégé