La « sociologue » française originaire de Guadeloupe Patricia Braflan Trobo a dû se faire remonter sévèrement les bretelles par ses paires et par des paires.
Et même si je lui apporte un soutien humaniste, ce serait quand même bien qu’elle assume ses propos concernant le docteur Henry Joseph.
Tout d’abord qu’elle arrête de faire son Zandronis entre anis et anus. Ce n’est pas élégant, ce n’est guère glorifiant et ce n’est pas digne d’une femme qui se veut sachante. Ça déchante. Ça déjante en une glaire rime avec gente.
Je n’ai fait que reprendre un texte où elle critiquait vertement son compatriote pharmacien père du Virapic en décembre 2019. Titre constructif : « Le grand n’importe quoi d’Henry Joseph ». Je ne suis pas tout le temps d’accord avec ce dernier mais concernant le rapport à la terre…du guadeloupéen, il a parfaitement raison. Et c’est également valable pour le martiniquais. Ce n’est pas moi qui le dis…c’est Antoine. Depuis un certain temps…déjà.
Pas de réaction de la miss après 14 mois de présence de son brûlot gratuit sur Bondamanjak. Et là…février 2021…la belle au bois dormant se réveille. C’est trop beau. En effet, le moteur de recherche Google a fait son job et l’article de la miss, bien malgré elle, a connu un fort et important regain d’audience. Manque de peau. Tanbou dé bonda…
Patou gros cas comme le gwo ka, fielleuse comme un mauvais miel, se vide alors comme la covid : » Depuis quelques jours je reçois des messages évoquant un article que j’aurais écrit sur le site du nom de bondamanjak. Naturellement, dès les premiers messages j’en ai ri, amusée que des personnes supposées intelligentes puissent oser associer mon image à ça.
Puis une de ces personnes m’a envoyé le fameux article et là j’ai pris la dimension de ma divine mission sur terre.
De tout temps, j’ai toujours donné des pièces aux clochards, des tickets restaurants aux mendiants dans la rue ou le métro et j’ai toujours nourri les chiens perdus sans colliers qui traînent autour de moi. Hé oui, j’ai envie d’aller au paradis ! C’est pas de ma faute ! Que voulez-vous !
Mais des chiens perdus sans colliers, des crève-la-dalle, glandeurs, truands, tire-au-cul (bonda manjak ! Normal on dira) je découvre qu’il y en a partout et particulièrement sur le net.
En effet, le journaleux qui tient le site bondamanjak en est un. Mais à lui je n’ai pas donné de ticket restau ni de pièces. Qu’a fait le journaleux comme tout fengnan, malpwòp, volè qui se respecte ? Il est allé sur mon blog, a copié un texte que j’avais écrit en décembre 2019 suite aux propos d’Henry Joseph sur ETV à propos des guadeloupéens « qui attendaient qu’on leur mette la cuillère dans la bouche et que ne travaillaient pas assez » et l’a mis en circulation sur son site suite à l’annonce d’Henry Joseph de sa découverte sur le zèb a pik.
Naturellement, certainement en admiration devant ma grande beauté, il a pris, toujours sur le net, une de mes plus belles photos et l’a mise en format poster sur l’article pompé sur mon blog. Ki jan zò ka touvé sa ? Vu la taille de ma photo sur l’article du journaleux Hélène Migerel, Fanon ou Freud auraient certainement écrit une encyclopédie dessus. Bien évidemment journaleux ne prend pas la peine de préciser ce qu’il a fait. I ka manjé pou ayen donk i kontan !
Ah au fait, petite précision qui vaut son pesant d’excrément : journaleux est martiniquais. Un disciple de ou un élève de la Laouchez académie. Laouchez c’est le propriétaire de la chaine KMT qui fait régulièrement des vidéos où il compare la Guadeloupe à la Martinique et où il déverse toute sa guadeloupéanophobie. En tout cas Laouchez est son maitre à penser et il fait tout pour dépasser son maitre.
De ce que j’ai compris journaleux passe beaucoup beaucoup beaucoup de son temps à s’occuper de ce qui se passe en Guadeloupe et surtout à chercher où et comment il peut foutre la merde (bonda…. manjak) en Guadeloupe. Il n’en n’est pas à sa première crise de guadeloupéanophobie.
S’il suit la ligne de son maitre Laouchez, il faut qu’il sache que face à cette maladie la science préconise de piquer le sujet parce que cette maladie ne se soigne pas. Normal, la Guadeloupe brille en permanence. Nou pa ka blagé mé nou fò. Et vraiment on ne fait pas exprès les gars. Ce n’est vraiment pas de notre faute si nous sommes éclatant.e.s en permanence. C’est dans notre nature. Donc je vous souhaite bon courage ou alors regardez ailleurs qu’en Guadeloupe si zò pé.
Alors, on va faire le bilan de l’opération réalisée par journaleux. Dans cette opération journaleux se retrouve avec sur son site un article de trois pages au moins sans avoir écrit un seul mot !
Journaleux en bon fouille-merde (dans bonda manjak n’oubliez pas qu’il y a bonda donc la merde c’est l’élément dans lequel il évolue naturellement) n’a pas non plus pris la peine de préciser que cet article datait du 12 décembre 2019 et qu’il le détournait. Un voleur qui dirait qu’il vole ? An nou pa révé !
Journaleux, lach kon pété douvan jou (on reste dans le bonda vous remarquez), ayant peur d’un énième procès, n’a pas un tiers de quart de testicule, et est donc incapable de mener l’attaque réelle qu’il aurait voulu contre Henry Joseph. Car en fait concrètement son but c’est ça et rien d’autre : discréditer Henry Joseph !
Mais pour ça il aurait fallu qu’il sache écrire plus de 10 lignes et qu’il ne soit pas un dégonflé, un trouillard pour accepter un petit procès au cas où. Donc allez sans honte il se cache derrière une femme pour faire son sale coup. É apré di mwen fanm pa poto mitan !
Mais mieux, journaleux avec ce buzz a kokangn va pouvoir manger et bien manger. Parce qu’il faut que vous sachiez que des articles comme celui où trône ma photo sur le site de journaleux génèrent énormément de cliques et le site de journaleux devient une bonne vitrine pour la pub où bétché-a vend son rhum.
Donc avec cet article volé sur mon blog, sorti de son contexte, je permets à journaleux de boire et manger grassement et à son petit béké chéri de vendre son rhum sur son site.
On revient comme vous le constatez aux chiens perdus sans colliers que je nourris. Même sur internet il y a des chiens errants qui ont faim et que je dois nourrir. C’est ma divine mission incontestablement.
Normalement au paradis il doit y avoir une villa avec piscine et jacuzzi qui m’attend comme disent les jeunes! An tout jan !
Vu que journaleux est un chien errant virtuel voleur on va changer son statut ! Nous les guadeloupéennes nous sommes dé métrès fanm. Je vais le faire passer de chien errant virtuel voleur à chien errant tout court en lui donnant l’autorisation de voler tous les articles qui sont sur mon blog et toutes les photos de moi qui sont sur internet pour qu’il remplisse son truc de désinformation afin qu’il puisse manger.
Comme ça quand son petit béké chéri va lui payer sa pub, quand il ira payer ses courses chez son petit béké chéri et ses factures, quand il portera sa fourchette à sa bouche, il se souviendra que c’est une guadeloupéenne qui le nourris entre autre.
Bon, pour finir, on va faire un petit test. On va vérifier si journaleux a au moins un testicule, un seul, ne serait-ce que de la taille d’un tic-tac. On ne va pas trop lui demander… Si c’est le cas, je le mets au défi de publier cet article sur son site exactement dans le même format que celui qu’il a volé à propos d’Henry Joseph.
Patricia Braflan-Trobo.
Voilà ce qu’une sociologue « dite docteure…CQFD » arrive à pondre dans la douleur égotique.
Un texte qui lui ressemble. Un verbe en rut. En constante sortie de route. Un truc glauque. Sans finesse aucune. Je suis donc inquiet pour la Guadeloupe. Très inquiet. En bon dard et en tout cas car elle devra panser ses dites têtes pensantes.
Antoine Crozat avait donc raison. Mince alors. Putain…Pétain…comment peut-on ?
gilles dégras