Une structure qui a ses yeux a connu des difficultés mais est de nouveau en bonne santé. La preuve, un excédent de 30 000 euros aurait même été observé lors du dernier exercice. Or, Dominique Joly, le nouvel administrateur provisoire l’affirme, cette procédure eu égard à la loi s’est exercée en toute conformité. La règle étant la confidentialité afin éviter la démission avant l’heure du conseil d’administration visé par la procédure. Il est vrai que cela se produit dans certaines entreprises afin d’éviter toute disparition de documents, notamment lors du licenciement d’experts en informatiques au sein d’une entreprise. Quoi qu’il en soit, la classe politique, Victorin Lurel en tête s’est emparée de l’affaire et réclame l’arrêt de immédiat de la procédure et le rappel de Dominique Joly à Paris.
Sauf que ce dernier dans une interview accordée a RFO Guadeloupe a remis les pendules à l’heure, rappelant les éléments qui au bout de deux ans avaient conduit à une telle décision pour tenter de sauver l’entreprise et le personnel avec : Incapacité pour les administrateurs de présenter un plan de redressement fiable. La présentation de chiffres qui ne tiennent pas compte du budget entretient du parc locatif. Irrégularités diverses etc… Pour l’heure, la mobilisation s’organise, mais avec peu de chances d’inverser le cours des choses.
Source : Sept Mag