Il paraît qu’il faut rendre à César ce qui est à César, à Césaire ce qui est à Césaire, mais pourquoi ôter à Fanon ce qui est à Fanon ? Ce jour au JT de Martinique Première (encore…) , dans un reportage, on a pu entendre prêter à Césaire la citation de Frantz Fanon, conclusion de « Peau noire, masques blancs » : « Je ne suis pas esclave de l’esclavage ».
Sans commentaire mais comment taire ?