On nous aurait donc menti. L’affaire du #Ceregmia sera le feuilleton braise îlien de l’été en #Martinique. Les avocats de l’#UAG entre ce jour dans le pitt médiatique. On va s’amuser.
Il y a bien une affaire #CEREGMIA et à ce titre, l’#UAG nous a demandé de défendre ses intérêts.
A cet effet, nous nous sommes constitués partie civile, pour le compte de la présidente de l’Université agissant ès qualité, dans le cadre de la procédure ouverte au cabinet du juge Petiteau pour détournement de fonds et escroquerie en bande organisée.
En parfait accord avec notre cliente, nous n’entendons nullement occuper l’espace médiatique pour alimenter la polémique.
Ce dossier est suffisamment volumineux et lourd de conséquences pour les Antilles pour que nous lui consacrions toute notre attention et toutes nos diligences, sans nous perdre en vaines chicaneries.
A ceux qui aimeraient nous entendre porter la réplique à la moindre attaque, nous répondons que le temps judiciaire n’est pas le temps médiatique, que loin du bruit et de l’agitation, il requière travail, sérieux et humilité.
Nous avons été mandatés pour que toute la lumière soit faite et toutes les conséquences tirées. C’est ce à quoi nous nous attachons.
Démêler tous les fils du remarquable travail entrepris de longue date, recomposer tous les circuits, comprendre tous les schémas, pour réunir toutes les pièces de cet immense puzzle et qu’apparaisse enfin la Vérité au grand jour.
Voilà ce qui nous occupe pour l’heure. Le temps de la parole viendra plus tard.
Raphaël Constant, Thierry Bernardini, Virginie Mousseau.
Avocats de l’UAG.