« Le Centre national du cinéma (CNC), qui nous a refusé l’avance sur recette sous prétexte que la commission ne comprenait pas l’histoire. Elle la trouvait irréaliste, pas crédible, alors qu’elle s’appuyait sur des faits historiques et des personnages ayant réellement existé. Quant aux chaînes de service public, elles n’ont pas voulu financer le film pour des raisons qu’elles ont préféré garder secrètes"
Dixit in l'humanité.fr (4 août 2008) le réalisateur martiniquais Guy Deslauriers en évoquant les déboires rencontrés par son film "L'affaire Aliker"