En 1986, sur la Croisette, je suivais Spike Lee comme son ombre…un peu parce qu'il était le seul réalisateur noir sur la place, beaucoup parce qu'il avait pondu Nola Darling (She's Gotta have it) un film qui à l'époque avait bouleversé mon imagerie. Hier j'ai visionné "Inside Man" et 20 ans plus tard, je suis toujours aussi fier de lui.