En #Martinique, l’île où on confond durablement pistache et cacahuète, jus et nectar, tout est possible. Par exemple une ingénieure agronome peut se retrouver responsable d’une entité dédiée aux transports et ça ne dérange personne. Même #colbert le père du #codenoir n’aurait pas osé un tel grand écart professionnel. Mais bon…ma voisine de droite qui est la grand-mère de la marraine de son fils fait des flyers sur photoshop pour l’entreprise de son filleul et chacun y trouve son compte. Aussi, dans cette logique insulaire qui sent le feuilleton braise îlien, pas étonnant que tout le monde fait tout même ceux qui ont des casseroles. Le mardi 11 mars 2019, c’est donc Monsieur Marcel « IRCOM à la maison » Clodion qui a reçu Joëlle Désir la DG du Comité Martiniquais du Tourisme (CMT) à la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique. Alfred Marie-Jeanne étant absent du territoire. La question qui nous vient c’est : « Marcel Clodion est-il compétent pour remplacer le président du Conseil Exécutif dans un dossier aussi délicat ? »
On n’ose pas le croire.
Cet homme qui se prend pour un couteau suisse métis est une supercherie vivante et son passage à l’IRCOM est là pour illustrer nos propos mis en gras.
Mais revenons au cas de la DG du CMT. Comment Mr Clodion peut-il évaluer le niveau du management pratiqué par Madame Joëlle « Less » Désir au Comité Martiniquais du Tourisme ? Est-il compétent pour cela ? Le doute m’habite comme un vit nègre. Une structure en souffrance chronique où la médecine du travail a découvert des cas psychologiques voire cliniques quasi incurables. Dans les couloirs on peut même entendre dire :« Même à Cuba, on ne traite pas les gens comme ça ». Sauf qu’à Cuba et ailleurs on a compris que le tourisme est un poumon économique majeur. Reste à savoir ce qui s’est dit entre la miss et le franc-maçon en mission. Une chose est sûre, dans le milieu du tourisme en Martinique, les acteurs de ce secteur n’en peuvent plus de Joëlle. Pire, ils désirent un changement réel. A suivre.