La Collectivité Territoriale doit-elle demander à l’UNESCO l’inscription du cinglant « BONDA MANMAN’W » du DGS André Pierre-Louis au Patrimoine Mondial de l’humanité ? À bien regarder, un clin d’oeil de borgne suffirait pour avoir une vision boskafiste de la question. L’apport de l’injure dans la langue créole constitue une allitération conjoncturelle qui démonte la dimension abstraite d’une réflexion farfelue. Reste à savoir si le flou qu’impose une mise au point opaque permet de clarifier l’obscurantisme dévoilé par une évidence diffuse.
Ce n’est qu’à ce moment que la fragilité nononistique donnera accès à un hub sans issue. Personne, au coeur d’une unanimité singulière ne viendra vous dire alé UNESKOKÉ MANMAN’W.
En bon dard et en tout cas car le verbe fait cale en restant au-dessus du sujet sans complément d’objet envie de nous. Les sens offrent cette essence rare et divine qui noue le nous.