La proposition de loi crée aussi la possibilité de fixer des taux maximum de teneur en sucres pour certains aliments distribués outre-mer. Elle prévoit que l’avis du Haut conseil de la santé publique sera sollicité sur la liste de ces produits, les taux à respecter et donc le rythme des évolutions à mettre en œuvre.
Il s’agit d’une initiative équilibrée et responsable.
Il reste à espérer que le gouvernement, qui a tout à y gagner, s’y ralliera et que la proposition de loi recueillera un accueil aussi positif lors de son examen en séance par l’Assemblée nationale, le 6 octobre prochain.