À moins de 11 mois de la prochaine échéance électorale en #Martinique. Les états-majors politiques sont sur les dents. Pas ceux de sagesse.
Ils ont plutôt les crocs qui font les meilleurs escrocs.
Alors en pleine ère des réseaux sociaux, ils n’ont pas le choix. C’est là que ça se passe. C’est là que la parole se libère mieux que la démocratie participative.
L’inconvénient c’est que dans cette mangrove de liberté d’expression…pas évident de contrôler la pensée citoyenne. Le libre arbitre, l’esprit critique. Mince.
Aussi, des directeurs de cabinet éjectés de leurs selles…sont obligés d’user de la sombre balayette pour gérer les merdes. Il y a en a un bien connu qui a plusieurs pseudos pour intervenir sur les sites courus, sur Facebook, sur Twitter, il est aussi très bon en sms pour raconter ses fables. Des fois, il se croit renard, il se retrouve …corbeau.
Eh oui, le web, ce n’est pas donné à tout le monde et tous les claviers ne sont pas des claviers. Cet homme organise des brigades de trolls pour perturber et tenter d’imposer sa gouvernance mais il manque d’ingénierie. Il n’est pas encore bon. On peut même dire qu’il est nul. Oui, on ne peut plus le nier la communication est importante.
Sauf que ces gens franchissent souvent le Check point qui donne sur la propagande vile. On ment, on fait de faux documents, on pipe les chiffres et autres données économiques on menace les journalistes qui ne (se) couchent pas. Eh oui…ça se passe comme ça en Martinique. Et pourtant…on s’affiche …#jesuischarlie …Charlot va.