Boites de nuit, soirées, showcases, paillotes, déjeuners-dansants, midi-minuit, afters, befores, ambiance craché difé…chaque semaine, toute l’année, toutes les années, toutes classes sociales, toutes catastrophes prises en compte : la fête ne connaît pas la crise en Martinique.
On n’épiloguera pas sur le côté parfois paradoxal de cette réalité, alors que la crise est là, partout, et qu’ici plus qu’ailleurs nous n’avons pas fini d’en subir les contrecoups.
On ne nous fera pas non plus croire qu’il s’agit d’une réaction ou d’un remède à cette crise…il en a toujours été ainsi : la fête jouit ici d’un statut quasi… prioritaire.
Revenons au constat : la fête de connaît pas la crise ? Et pourquoi n’en profiterions nous pas ?
Depuis de nombreuses années, les artistes et musiciens tentent de convaincre les pouvoirs publics du potentiel économique de leur activité. Sans succès. L’attribution toujours ponctuelle de quelques aides n’y change pas grand chose.(…)
Lire la suite sur http://www.politiques-publiques.net