On pourrait ajouter à cela, la décharge publique qui se trouvait directement dans l’eau là on se dresse aujourdhui l’espace Yole dédié à Lison Marie Magdeleine.
On pourrait ajouter l’abattoir communal du front de mer qui déversait tous les déchets directement à la mer.
On… pourrait ajouter toutes les maisons qui se trouvaient sur toute la périphérie de cette baie, Pwent Fö, Yasent, Yacinthe, Twou Tè, Pikin, Pwent Savan, Lilèt y compris des maisons des békés et des mûlatres qui avaient fait du Robert de cette époque leur lieu de résidence secondaire sur les ïlets.
On pourrait… rajouter l’usine à sucre du Robert qui déversait directement tous ses déchets à la baie, y compris les graisses des machines.
Monsieur Verneuil pourtant habitait sous l’actuelle gendarmerie où son père avait une unité de production dans la filière bois sur un remblais directement dans la baie.
Donc jolie page de nostalgie de l’adjoint au maire mais bien loin de l’Histoire sanitaire de cette commune et de cette baie.
Quel jeune Robertin qui n’a pris « an létjèt » sur le quai et n’a pas dû écarter un « colombin » pour faire les brasses pour rejoindre la pointe Fort à la nage ?
Les ciriques de la baie et les mulets de la Baie du Robert étaient réputés pour leur graisse et leur qualité gustative……..je n’en mange plus depuis.
Un Robertin nostalgique mais des hommes et femmes de cette époque : Gégé, Diréne la Risi, Lié, Fofor et surtout Mantou, Kownèy, Ti Wow la fol, Ababa, etc…..