Cette dernière est amarrée aux fonds marins par trois câbles, lâches afin de permettre à l’éolienne de se mouvoir avec les flots.
Le Japon, la Corée du Sud, la Californie, la côte Est des Etats-Unis ou encore l’Espagne figurent parmi les régions où cette technologie pourrait être exportée, selon StatoilHydro.
« L’objectif est de faire tomber le prix au niveau des éoliennes fixes qu’on voit s’implanter actuellement dans des profondeurs de 60 mètres », a précisé la responsable de StatoilHydro.
Inauguré mardi, Hywind ne démarrera sa production que dans quelques semaines, a précisé le groupe norvégien.
StatoilHydro va tester Hywind dans les conditions météorologiques difficiles de la mer du Nord pendant deux ans avant d’envisager d’autres expérimentations, telles que de petites fermes d’éoliennes flottantes, avec des partenaires internationaux.
Le projet-pilote a regroupé le français Technip, qui s’est chargé de la construction et de l’installation de l’élément de flottaison, son compatriote Nexans (production et pose des câbles) et l’allemand Siemens (construction de la turbine proprement dite).
Source AFP