Ainsi depuis le 3 juin 2020, en Martinique, chaque semaine, la gendarmerie a débarqué dès 6 heures du matin chez certains des militants anti-chlordécone pour les mettre en garde à vue…avec moult intimidations et menaces de poursuites, s’ils arrêtaient pas de manifester.
Naïveté ou cynisme incroyable de la machine judiciaire ou un peu des deux ?
Le préfet ananas confiait récemment au petit comité, où il fallait montrer patte blanche pour entrer, sa confiance en l’avenir et sa maîtrise de la situation.
Bêtise ou ignorance de celui qui est appelé à comparaître le 30 septembre 2020 pour injure raciale au Tribunal de Grande Instance de Fort-de-France.
En bon dard et en tout cas car, nous n’avons pas de conseil(s) à lui donner. C’est un grand monsieur qui prend ses responsabilités. Seul hic, à la Martinique, la seule chose qui est En Marche c’est l’Histoire. Parce qu’un jour le status quo ké manman zot.
gilles dégras