Pendant que l’on vous divertissait en France avec « la traque de l’Arabe invisible », le groupe LAFARGE, entreprise française leader mondial du ciment et principale cote du CAC 40, s’arrangeait avec l’Etat Islamique (nom commercial de Daesh).
Inutile de vous dire que cette nouvelle a été coulée dans le béton, vite fait.
Après, en 2016, il ne faut pas s’étonner si ce groupe (on parle de Daesh) a suffisamment de « moyens » pour mener une guerre asymétrique jusque dans le métro de Bruxelles.
Selon le Monde.
« La cimenterie du groupe français Lafarge à Jalabiya, dans le nord de la Syrie, a payé des taxes à l’organisation Etat islamique entre 2013 et 2014, afin de continuer à fonctionner pendant la guerre. C’est ce que démontre une enquête publiée par Le Monde, mardi 21 juin. Inaugurée en 2010, la cimenterie de Jalabiya, dans le nord-est de la Syrie, était le fleuron du cimentier français au Proche-Orient. Mais l’année suivante, la guerre civile a éclaté. La direction de l’usine a cherché à la faire fonctionner le plus longtemps possible dans un environnement dangereux et instable.
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