Quel intérêt si on a pas d’actions à la bourse me direz-vous ?
Avec 90% des ressources monétaires dans cette bulle spéculative, nous sommes liés à ses chaleurs. Vous souvenez-vous de la crise des subprimes en 2008 ? Attendez-vous à sentir passer le vent du même désastre.
Panique en Italie. Blocage de train aux frontières de l’Autriche. Paquebots en déroute. Honk-Kong, Singapour, Corée … Canada, France, Angleterre… la terre entière en alerte. Et la Chine coupée du monde, en quarantaine mondiale.
Ce week-end des révélations encore plus troublantes sur les nouveaux modes de transmission du virus.
Dans le monde entier des signes d’une perte de confiance des populations se font nombreux.
La Chine tourne au ralenti. Usines fermées. Elles menacent de ne PAS PAYER les salaires des employés bloqués chez eux. Et comme tout est fabriqué en Chine (95% du smartphone que vous tenez dans votre main) l’impact sur notre vie réelle risque d’être très concret.
Déjà, vendredi dernier les premiers signes de nervosité ont secoué les actions phares du NASDAQ, l’indice boursier des entreprises de la techno. Apple, Facebook etc tout le monde plonge.
Lundi 24 février sera la journée de tous les dangers. Chauffés à blanc par les révélations du week-end, les investisseurs vont tous vouloir « sauver la mise » en vendant leurs actions en danger.
Et les cours vont chuter. La peur va créer la chute, qui va renforcer la peur, en route vers une panique que seuls les boursicoteurs savent entretenir.
Quelque soit l’issue, on se souviendra qu’une seule chauve-souris sur un marché d’une ville paumée de Chine aura mis à genoux la seconde puissance mondiale.
A méditer pour la suite.