Pour la énième fois, le Parti Progressiste Martiniquais fait de Vaval une arme politique au coeur du #Carnaval de Fort-de-France. C’est en effet c’est le mouvement crée par Aimé Césaire qui conçoit le jouet sombre qui va tenter de ridiculiser ses adversaires. On aurait pu voir Serge Letchimy en bwabwa après sa promesse de 5000 emplois ou encore après sa cuisante défaite de décembre 2015. Mais cet homme ne connaît pas ce qu’on appelle…l’humour sur soi. Bref. N’est pas chauve qui peut comme dirait ce chiant de Patrick Devedjian.
En 2018, le pool créatif du PPM avait donc épinglé Louis Boutrin. Grâce ou à cause d’un TCSP que les balisiéristes foyalais avaient eux-mêmes bloqués. Trop forts les mecs.
En 2019, Le Vaval a l’air d’un petit yéyé nourrit au Champagne cher au natif de Reims Jean-Baptiste #colbert le père du #codenoir. La tenue de cet homme n’est pas le fruit du hasard. Il porte du rouge du vert et du noir. On dirait qu’il a fait ses achats chez Safari Way ou chez Fanel. Boug la prélè sé an romanticus qui ne vanus cocus.
Mais il y a des détails importants. Ses chaussures boskaf ont les mêmes couleurs que le logo du MIM. Tiens tiens. Trop forts les mecs. Sergio est à la manoeuvre. D’ailleurs il doit également derrière le rétropédalage « eunuquien »de Didier Laguerre sur le dossier du drapeau sur le fronton de la mairie du chef-lieu.
Et comme dirait Anne Hidalgo la mairesse de Paris : » Et pendant ce temps-là en #France le pays des droits de l’homme qui a déclaré l’#esclavage crime contre l’humanité, Le Comte de Blénac qui a rédigé avec Patoulet le brouillon du Cod Noir a encore une rue qui porte son nom à Fort-de-France et ça ne dérange personne. Surtout notre paire de fumistes Sergio et Didier. Comme quoi le kumquat.