Eh oui…utiliser des enfants pour défendre l’image d’une épreuve sportive sponsorisée par une marque de boissons exotiques c’est fort de café. Surtout que cet excitant destiné aux adultes est clairement déconseillé à ce coeur de cible.
Mais il faut dire, en pleine pandémie covid-19, que l’arrivée de la Transat Jacques Vabre à Fort-de-France en Martinique est mal vécue par une partie inestimable de l’opinion publique. Les râleurs hurlent un légitime « sa ka fèt ? ». D’autres sont en mode coffre miam miam.
Bernard Hayot, l’homme qui vendait des produits chimiques agricoles en 1972, lui a déjà sa tasse aux lèvres. D’où ce message publicitaire, pour tenter de calmer ceux et celles qui préfèrent la yole Atoumo. Reste à savoir, bon sang.si tout a été fait dans les règles. Les lois de France, le pays cher à Antoine Crozat sont stricts concernant l’utilisation des enfants dans la publicité. Pour l’heure nous allons interroger des avocats féroces pour voir si Mister Bamax ne nous a pas roulé dans la farine de manioc. En bon dard et en tout cas car ou pa jen ka sav.
