
le REJI est une « invention » de Danielle Laport l’obsolète couteau chien suisse de la Collectivité Territoriale de Martinique. Ce énième truc à la con a été élaboré après la claque des élections où le Rassemblement national (RN), avec ses airs aimés et aimantes d’aimant, était arrivé en tête dans l’île chère à Émia Eriasec. . À Plateau Roy, la Bastille Boskafienne, il était question de reprendre le « peuple rain » en main notamment les jeunes.
Il y avait urgence car « Les Martiniquais étaient devenus d’extrême-droite » ! Il fallait inverser la tendance naissante. Avec des actions fortes et graduelles.
Entre autres, avec des programmes ciblés. Faire des interventions dans les collèges et lycées étaient envisagées afin de « rééduquer » les jeunes Martiniquais. Danielle Laport a pondu sous péridurale ce projet REJI (sans doute un reliquat de dossier du temps où elle s’occupait de la Mission Locale…) afin d’occuper le terrain sur la question sociale (genre: voyez ce que l’on fait pour la Jeunesse).
Le slogan « Deviens ce que tu es », dans notre monde créole, hub d’errances identitaires, était une connerie puisée dans une réminiscence culturelle légère. Trop légère. Une ente ratée. Ça ressemble à du Nietzsche. Mais ce n’est pas du Nietzsche.
La suite…un échec cuisant. Une énième fausse solution qui aboutit au scandale financier que l’on découvre aujourd’hui. Le hic c’est que ce n’est pas fini. C’est un feuilleton Boskafien majeur. Et difficile de terminer cet article sans user d’un … »A suivre ». Hélas. À suivre…