La Martinique a elle aussi ses indignés. Mais pour ceux-là, pas question de marcher sous le chaud soleil ou de prendre des coups de boutou et plus. Pas d’affinité… et Février 2009 est bien loin.
Ils préfèrent mettre leurs destins et leurs besoins entre les mains de Paulo, animateur vedette sur Radio Martinique première, qui recueille sur un répondeur leurs doléances parfois rances.
De sincères pleurnicheries quotidiennes qui démontrent une dépendance totale. Paulo fè sa ba nou… est leur phrase fétiche.
Ouais, ça se passe comme ça dans un département où on confond pistache et cacahuète… un département où il faudrait notamment, dit-on, un plan Marshall pour la jeunesse. Lol.