A travers cette coquille d’un site web on devrait commencer à se poser certaines questions sur la nouvelle « manière de vivre » aux Antilles. Plongées dans une léthargie sans questions, les îles sont devenues une jolie prison où les natifs dépriment au soleil. On parlerait de « travail » pour ceux qui veulent encore bosser, de « rythme de vie » pour ceux qui prennent trois heures pour faire Ducos / Fdf tous les jours aller bosser, de « vivre ensemble » pour ceux qui ne supportent plus la permanente révolte hypocrite locale.
Personne ne remarque qu’une génération de « natifs natals » partent de l’île ? Ceci n’est pas remarquable sans doute.
La Martinique est trop fière pour montrer ses plaies. Pourtant ceux qui l’ont aimé décident souvent de la laisser, comme une femme trop volage, trop sûre de son fait, alors qu’elle a tout à apprendre.
J-P. N