Monsieur,
En ce 8 mars 2023, Journée internationale des droits des femmes, je vais entamer avec vous, que vous le vouliez ou non, une active et régulière correspondance publique concernant les graves dysfonctionnements au CHU de Martinique.
Des dysfonctionnements à tous les étages. Manageriaux, financiers, ressources humaines, logistiques et je n’ose pas parler des soins apportés aux malades…des vidéos et des audios se bousculent au portillon sous dimensionné de mon smartphone. Et…des diplômes délivrés dans votre matrice.
Jérôme Le Brière, il faut qu’on parle. Il est important que nous échangions pour la bonne santé de la santé en Martinique. Vous n’avez le choix. Pire je ne vous laisse pas le choix. Je suis très chiant.
Pour l’heure, le CHUM est malade à cause de la crasse kakistocratie qui règne et circule durablement dans ses artères. On dit souvent que le poisson pourrit par la tête. Évitons-nous ce glaire destin à la con. Instaurons si vous le voulez bien, un dialogue constructif.
Une question. Une réponse.
Allez on commence doucement…
Peut-on parler du cas de Madame Odile Akrong ?

Sans réponse de votre part, vous me verrez dans l’obligation de répondre à votre place. En bon dard et en tout cas car vous ne me laisserez pas le choix. Mais je sais, après avoir vu votre photo avec vos mains en prière que Jésus fera de vous un être raisonnable.
Bien à vous
gilles dégras