Pourtant, vous êtes plusieurs parlementaires à être intervenu sur le sujet par question écrite, par contacts avec tel ministre et même par une proposition de loi au Sénat.
En 2008, le ministre du travail avait répondu à l’un d’entre vous que « l’année ne s’achèvera pas sans que quelque chose bouge à ce niveau ». Trois ans plus tard et deux ans après les nouvelles promesses suite au mouvement de février 2009, aucun changement n’est intervenu.
Nous considérons cette désinvolture gouvernementale comme une insulte à notre égard et comptons sur votre vigoureuse intervention sur ce sujet comme sur les deux précédents.
Je vous prie d’accepter, Messieurs les Parlementaires, mes cordiales salutations.