lors d’un séjour au Brésil où il était allé enseigner la sociologie.
L’académicien,
ethnologue
autodidacte, comme il aime le répéter, est désormais centenaire depuis la
fin du mois dernier.
A relire « Tristes
Tropiques »
Extraits (p. 25) :
« Sur le coup de deux heures après
midi, Fort-de-France était une ville morte : on aurait cru inhabitées les
masures bordant une longue place plantée de palmiers et couverte d’herbes
folles, qui paraissait un terrain vague au milieu duquel aurait été oubliée la statue
verdie de Joséphine Tasher de la Pagerie, plus tard Beauharnais ».
Magistrale description de
la Savane un jour de mars de l’année 1941.